Les pensées perverses de Chloë
Prenez à peu près n'importe quel film porno, qui est le sujet principal? Blowjob, riding cock, gangbang : c'est à peu près toujours la femme qui est au centre. C'est elle qui reçoit, qui a le beau corps, qui attire.
Au quotidien lorsque quelqu'un baille, vous avez tendance à bailler à votre tour, ce sont les neurones miroirs qui entrent en jeu. De la même façon, lorsque vous regardez un film, vous oubliez votre corps, qui devient le réceptacle des sensations du héros, c'est une forme d'empathie assez forte.
Eh bien je pense qu'il se produit la même chose quand vous regardez du porno. Quand vous voyez le visage d'une jolie femme qui semble prendre plaisir à sucer un pénis, vous ne vous identifiez jamais à elle? Et lorsque vous voyez cette femme prendre son pied, pénétrée à la fois par la bouche et le cul, vous préféreriez vraiment être à la place d'un des mecs plutôt qu'à la sienne? Ca m'étonnerait. En tout cas c'est cela ce produit à chaque fois pour moi : quand je regarde un porno, je suis la femme. C'est normal, c'est elle qui est intéressante. Je pense qu'à partir de là il n'y a rien d'étonnant à ce que je veuille lui ressembler, et que cela modifie mes envies sexuelles. Les sissy trainings dont je parlais dans mon dernier article ont certainement accéléré le processus.
Je pourrais développer le sujet davantage, mais j'ai lu un témoignage sur Doctissimo dans lequel je me suis tout à fait reconnue, que je vous invite à lire. En fait je dirais qu'il résume tous les articles que j'ai écris jusqu'à maintenant. Je pense qu'il est important de le lire quand on devient une sissy, pour avoir bien conscience des choses, quelque soit le choix que l'on fait par la suite.
Bisous,
Chloë