Les pensées perverses de Chloë
Il y a un mot anglais pour lequel je n'ai pas trouvé d'équivalent en français : "sissy". C'est difficile de résumer ce que c'est pour celles et ceux qui ne connaitraient pas. Une sissy, c'est une personne qui a un corps d'homme mais qui rêverait d'avoir un corps de femme très sexy. Ce n'est pas simplement l'envie d'être féminine, ce mot à une forte consonnance sexuelle et il est d'ailleurs souvent complété par d'autre mots : sissy bitch, sissy sucker, sissy faggot, sissy whore...
La sissy n'est ni un homme, ni une femme : c'est une sissy. Bien-sûr elle avait au départ un corps d'homme, et elle rêverait de devenir une femme, mais elle sait qu'elle n'en aura jamais la perfection. Ce n'est pas non plus une transexuelle. Malgré cela, elle est la partenaire sexuelle idéale pour les hommes, les vrais. Car le seul objectif de la sissy est de servir d'objet sexuel. Ainsi la sissy ne se fait pas prier dès qu'il s'agit de sucer des queues ou de se faire prendre le cul. D'ailleurs elle adore le sperme, que ce soit pour le boire ou en être recouverte. Elle adore qu'on se serve d'elle, qu'on la malmène, qu'on la traite de salope, de chienne. Rien n'est tabou avec elle.
Pour les sissy en devenir qui n'auraient pas encore tenté l'expérience avec un mec, il existe des vidéos ou images dédiées, permettant de révéler et de rappeler à la sissy sa vraie nature de salope. L'adresse de mon blog vient de là, car j'en suis une grande amatrice, en particulier en ce moment car le contexte s'y prête bien (voir mon précédent article). On en revient donc à la question de départ : suis-je une sissy? Bien-sûr cette sexualité m'attire, m'excite. Mais cela reste des fantasmes pour le moment, même si c'est déjà allé un peu plus loin. Une seule fois, en fait. Je discutait avec un mec sur www.plantrans.fr, et ça a tourné au jeu de maître/esclave, il m'a demandé mon numéro et le jeu s'est poursuivi par téléphone. Je suivais ses ordres, comme me mettre deux doigts dans le cul, puis trois, le tout en ayant des pinces aux tétons qui me faisaient de plus en plus mal mais que je n'ai pas retirées avant qu'il ne m'en donne la permission. Si je suis une sissy ou non, je vous laisse vous faire votre avis. Ca me parait quand-même de plus en plus concret, et les choses iraient plus vite si je ne vivais plus chez mes parents, je pense.
Et vous, vous êtes plutôt comme moi ou attirée par moi?
Bisous,
Chloë
P.S : si la "sissyfication" vous intéresse, je vous conseille ce site terriblement excitant : www.sissyhypnosis.club